Pour l’avortement, comme pour tant d’autres sujets, le patriarcat nous interdit la complexité. Il faudrait toujours aller bien, ou toujours regretter. Mais où est la parole de celles qui ne regrettent pas, mais qui vivent dans leur corps et dans leurs émotions une expérience rendue d’autant plus difficile par la loi du silence qui règne...